PUIS ON A TROUVE REFUGE A TARIFA, ON S EST FAIT UNE PISCINE-DOUCHE. IL Y AVAIT UN VENT A DECORNER LES BOEUFS ET ON A DORMI D UN SEUL OEIL CAR LES PALMIERS ALENTOURS MENACAIENT VRAIMENT DE NOUS TROUER CE PAUVRE HARRY. LE LENDEMAIN ON A VISITE JEREZ DE LA FRONTERA QUI POUR LE COUP EST UN ENORME ROCHER QUI VAUT LE COUP D OEIL LUI. UN PETIT VILLAGE PAVE AVEC DES MAISONS BLANCHES ET DES RUES TORDUES. LE VENT CONTINUAIT SA COURSE INTERMINABLE ET COMME ILS NOUS ON DIT A CADIZ:" QUAND IL FAIT CE TEMPS ICI ON EST DESORIENTE TOUTE LA JOURNEE", NOUS CA NOUS A RENDU UN PEU FOUS ET ON S EST MIS A JOUER AVEC LE VENT A PLUS POUVOIR ARRETER DE RIRE...
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